Aymeric LeBlanc
Messages : 5 Date d'inscription : 05/06/2014
Carte Etudiant Statut sur le forum: Libre pour un Rp Don: Soin Nombre de points:
| Sujet: Aymeric LeBlanc - Hmm... Tais toi, pour voir ? Jeu 5 Juin - 15:31 | |
| Va chier.
Nom : LeBlanc Prénom : Aymeric Âge : 17 Année : 4ème année (a redoublé deux fois) Nationalité : Anglais Groupe : Crépuscule
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Caractère Tu te demandes ce que tu peux bien foutre ici, dans cette foutue école, remplie de ces foutus blaireaux. Toi, t'as rien demandé, ce sont tes foutus parents qui t'ont foutrement envoyé ici. Ouais, t'en as conscience, d'être un vrai relou. Mais qu'est ce que tu t'en fous. On vient te demander de l'aide ? « Va chier. » Un professeur te pose une question « Va chier. ». Ce n'est pas compliqué, d'être toi, au final. Il suffit de n'avoir d'attention pour personne d'autre que ta petite personne. C'est quand même con, sachant que ton don n'est utile que pour autrui. Enfin bref, déjà que la vie dans cette foutue école n'est pas la plus folle qui existe, tu ne la simplifies pas par ton comportement. En fait, tu te dis que plus tu feras chier le monde, et plus de chance il y aura qu'on te renvoie. C'est limite si tu ne ferais pas foirer les alertes rouges pendant lesquelles toute l'école doit se muer pour simuler la normalité. Tu n'es pas vraiment blasé, ni en colère. En fait, t'es simplement un foutu égoïste. Mais faut pas croire, l'égoïsme est une chose difficile à vivre. Parce que personne ne vient en aide à un égoïste. Quand tu seras dans la merde, il y aura peu de personne pour te soutenir. Quelque chose qui te passionne, dans la vie ? Mm... prendre soin de toi. C'est vrai que t'aimes ça, te faire tout beau. C'est vachement important, pas pour les autres, non. Eux, si ça leur plaît pas, ta façon de t'habiller, ou de te coiffer. C'est « Va chier ». Direct. Il y a quand même des moments où tu perds en rage, des moments de faiblesse ou tu fais presque un effort d'intégration. Faut le dire, ils sont rares, ces instants de calme, mais ils arrivent. Souvent les jours où le soleil est au beau fixe, où tu n'as pas eu cours, où tu n'as croisé personne que tu détestes de façon virale. C'est dire si c'est quelque chose d'exceptionnel. Mais quand ces moments arrivent, tu respires la joie, tu en deviens presque agréable et épanoui. Tu finis par te dire que cette école n'est pas si nase. Jusqu'à ce que tu tombes sur quelque chose qui t'énerve – et ce n'est pas très difficile. Et d'un coup, c'est terminé, le premier gamin que tu croises vole directement dans le mur le plus proche tandis que tu pousses un grand « VA CHIEEEER. »
Malgré tout, tu restes quelqu'un de courageux. Tu as beau tout faire pour être le stéréotype de la personne pleine de rage et égoïste. Ce trait de caractère te rattrape à des moments inattendus. Il t'arrive, en voyant un première année s'étaler sur le sol, tous ses livres éparpillés autour de lui. De t'approcher de lui, tout sourire, pour l'aider à se relever et lui rendre ses livres. Comme si celui que tu étais pendant ton enfance te rattrapait l'espace d'un instant. Puis, d'un sursaut, tu regardes autour de toi si personne ne t'as vu, et tu jettes un regard noir à cette personne qui t'a donné un moment de faiblesse. Pfeuh.
Ce qui est extrêmement étrange, par ailleurs, c'est cette façon que tu as d'être très émotif. Il t'arrive souvent de te mettre à pleurer pour rien, comme si tu avais six ans et qu'on te refusait d'aller acheter des bonbons. C'est ton côté capricieux qui ressort. Peut-être un cumul de toute la frustration qui est tienne, à force de jouer au plus fort et au plus con. Aussi, tu as beau faire le dur, chercher les ennuis à qui le veut : quand tu tombes sur plus fort que toi, tu fuis. Tu fuis, et dès que tu es seul, tu pleures dans un coin, à chaude larme, secoués de sanglots, en te remémorant toutes ces choses qui peuvent te faire pleurer.
Finalement, tu n'es qu'un frustré. Ta vie te frustre. Et presque sans raison ! Tu as toutes les cartes en main pour t'en sortir dans la vie, dans cette école où tout le monde partage un don. Mais tu restes un éternel frustré, quelqu'un qui ne sait pas être heureux, mais qui supporte la vie comme un fardeau quelconque.
Sinon, tu fais un peu de sport. Tu cours en fait, beaucoup. En te disant qu'un jour, tu réussiras à courir assez vite et assez longtemps pour te casser de cette école de merde.
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Magie Don : Soin. Description : Ta magie te permets de soigner n'importe quelle blessure physique. Mais pas les tiennes. Maîtrise : Tu l'utilises tellement peu qu'il est difficile de savoir à quel point tu la maîtrises, mais il t'es arrivé de soigner des os cassés, ou des coupures plutôt béante. En fait, tu penses le maîtriser plutôt bien, ce don. Après, faut pas rêver. Si quelqu'un a le sida ou un cancer des poumons en phase terminale, t'auras bien du mal à le soigner. T'es ni un chirurgien, ni Jésus.
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Histoire
Tu es né dans la famille LeBlanc. Ah... Ce nom de famille, c'est tellement connoté de pureté, de blancheur, de gentillesse, que ça te fout la gerbe. M'enfin. Fils de Catherine et Robert LeBlanc, tu es l'aîné d'une fratrie composé de 2 enfants. Trop de responsabilité, non ? Ta petite sœur, Violette, est insupportable. Elle a trois ans de moins que toi, et chaque fois que tu la vois, tu regrettes que ton don ne soit pas autre chose que de soigner les gens.
Catherine LeBlanc.
« Oh... Aymeric était un petit garçon si agréable. Il avait un visage d'ange. Tout le monde disait qu'il deviendrait un jeune homme cultivé, intelligent, calme, posé. On n'aurait jamais pu deviné qu'il développerait autant de rage ! Il faut dire, les autres petits enfants ne le traitaient pas de façon très agréable à l'école. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai été appelé à l'école, parce que mon petit Aymi' d'amour avait le nez en sang ou le bras cassé. C'est peut-être pour cela, qu'il a développé ce don de soin. Mais c'est tout de même étrange, non ? Qu'il ne puisse pas l'utiliser sur lui-même ? C'est comme si la nature lui disait : « Je sais, mon enfant, les gens ne te rendent pas la vie facile. Mais ne leur en tient pas rigueur, soigne les quand ils auront besoin de toi. ». Seulement, mon petit bébé n'est pas comme ça. Il ne se laisse pas faire ! »
Elle a vraiment l'air conne, ta mère, à parler comme si tu étais encore un gosse. M'enfin, elle est pas méchante en soi. Et puis, c'est surtout à ton foutu père que tu en veux. C'est lui qui ne t'as pas laissé le choix, et qui t'as envoyé dans cette foutue école.
Robert LeBlanc.
« Aymeric... Ah... Celui là, je sais pas ce qu'on va faire de lui. C'est un bon à rien. Il a développé un don, et il n'est pas foutu de l'utiliser correctement ou à bon escient. C'est un égoïste, un fainéant, et si ce n'était pas mon fils, j'utiliserai des mots encore bien plus cru. J'espère qu'ils réussiront à en faire quelque chose, là-bas, en Suisse. En tout cas, je l'ai prévenu. Il ne reviendra pas dans cette maison tant qu'il n'aura pas de bons résultats en cours. »
Si tu n'étais pas son fils, il utiliserait des mots encore plus cru ? Ahah, s'il savait ! Toi, tu ne te gênes pas pour l'insulter de tous les noms dès que tu penses à lui. De toute façons, tes parents s'en fichent de toi. Ils n'ont jamais rien fait pour toi, c'était toujours « Violette par ci, Violette par là ». Ta jalousie t'aveugle tellement que tu n'es pas foutu de te rendre compte qu'ils t'aiment, tes parents. Qu'ils t'ont toujours fait passé avec n'importe qui ou n'importe quoi. Et ça leur fait mal, de ne plus te voir, de tenir cette promesse qu'ils ont fait de ne plus te voir tant que tu n'auras pas de meilleurs résultats. Seulement, toi, tu t'y es fait, comme une fatalité. Et tu as projeté sur eux une partie de la haine que tu avais envers les autres.
Violette LeBlanc.
« Mon grand frère était gentil avec moi, quand j'étais petite. Jusqu'à ce qu'il découvre son don. Il était vachement sympa. Je me souviens très bien du jour où il a découvert son don : je m'étais ouvert la joue en me cognant contre le coin d'une fenêtre. Il avait accouru, paniqué, vers moi. Je saignais beaucoup, et je pleurais. Alors il a su trouvé les mots pour me calmer, me réconforter, me faire rire. Mais la contraction de mes muscles quand je riais rendait la blessure encore plus douloureuse. Et alors il m'a dit : « Attends, je vais te faire un bisou magique. » Cependant, on ne s'attendait pas à ce que ce bisou soit vraiment magique ! »
Ce jour là, t'étais si heureux, de la voir se marrer, ta petite sœur. Mais c'était avant que la jalousie te ronge. Avant que tu ne découvres qu'elle était plus intelligente que toi, plus douée en cours, même en sport elle te surpassait. Et alors tes parents la vantaient devant tout le monde, te laissant dans l'ombre, toi. Donc, tu as commencé à devenir un gosse capricieux, colérique, impatient, orgueilleux. Tu as commencé à ne plus rien faire en cours, à passer ton temps à envoyer chier les gens. Et alors, quand tu as eu 17 ans, il y a peu de temps en fait. Tes parents en ont eu marre, et ton père a décidé de t'envoyer dans cette école en Suisse, en espérant que l'autonomie te rendrait plus raisonnable. Voilà où tu en es... dans une classe où tes camarades ont deux ans de moins de toi, qui a déjà redoublé deux fois. C'est dommage, tu n'es pas stupide, pourtant, c'est juste que tu joues au rebelle.
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Autre
Finalement, à force de rien foutre à par courir et faire chier les gens. T'es devenu un très bon coureur, mine de rien. Et aussi un très bon emmerdeur.
Hors Jeu Pseudo : Nhyme Âge : 21 Sexe : Homme Question(s)/Remarque(s) ? : CASSANDRE, JE VEUX RP' AVEC TOI. <3 Comment avez vous découvert le forum : Par Cassandre et Nikolai <3 (trop d'amour)
Dernière édition par Aymeric LeBlanc le Ven 6 Juin - 16:11, édité 1 fois |
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