Dragomira K. Ivanova
Messages : 13 Date d'inscription : 03/01/2014
| Sujet: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Ven 3 Jan - 21:02 | |
| J’aimerai être le froid qui fais trembler tes os
Nom : Ivanova Prénom : Dragomira Kira Malania Âge : 16 ans Année : Deuxième Nationalité : Russe Ancienne école : Synchronicity Groupe : //
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Caractère N’attend rien de moi. Ce serai du temps perdu. Et je n’attend rien de toi non plus.
Il faut que tu saches certaines choses. À part si on est pote, ce qui a peu de chances d’arriver, je n’en ai rien à faire de toi. Tu peux faire et dire ce que tu veux, même m’insulter, ça n’a aucune importance. Je te conseille quand même de ne pas essayer vouloir me faire du mal. Déjà que je peux te faire souffrir plus facilement que tu le crois. Et aussi parce que j’ai un frère très protecteur. Après, si tu veux vraiment te faire des ennemis, on peut toujours s’arranger.
Je crois que tu l’a remarqué, je suis le genre de gothique qui ne porte vraiment que du noir et du gore. Et je sais faire peur avec un seul regard. Mon portable est mon précieux bien, je l’ai toujours sur moi et presque toujours actuellement dans les mains. Je ne suis donc pas si disponible si tu veux parler. Généralement je ne répond pas, même en classe. Simplement parce que je n’en voit pas l’importance. Si tu m’agace, j’ouvrirai une page texte blanche sur mon portable pour te faire comprendre que tu dois arrêter. Si tu n’arrête pas, bah. C’est à tes propre risque et périls.
Je ne suis clairement pas agréable donc, même avec les rare personnes que j’apprécie. Je ne cache pas mon égoïsme ou mon ennui. On peut dire alors, oui, que je suis honnête et direct. Mais je ment aussi très facilement et peut jouer des tours si j’en ai envie. Il n’y a qu’avec Dexter que je suis absolument adorable et souriante. Si ça t’énerve j’en suis ravie.
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Magie Don : Calcium
Description : Les os renforcés, presque incassables. Si durs, si encrés à l’intérieur. Bien logés dans ma chair. Si je laissait pousser mes ongles, naturellement épais, plus besoin d’aucune paire de ciseaux. Mais c’est risqué, il suffit que je m’effleure pour m’ouvrir la peau, et j’ai déjà déchiré des vêtements sans le vouloir. Ces ongles ne peuvent pas être coupés alors je doit les ronger, et c’est devenu une telle habitude que je m’abime constamment le bout des doigts. Est-ce seulement la peine de préciser à quel point la force de mes os est dangereuse? Je peux me faire du mal, je peux faire du mal à n’importe qui. En mangeant je dois rester précautionneuse, ne pas broyer la fourchette entre mes dents. En donnant des coups dans un murs je peux le trouer. Plier des objets métalliques n’est pas non plus difficile. Mais il n’y a jamais que mes os qui se ventent d’être indestructibles. Ma peau, comme tout le reste, s’abime.
Maîtrise : Alors, en règle générale, j’essaye de rester calme. Je ne vais pas serrer la main de quelqu’un au risque de la lui broyer. Pas si je n’en ai pas l’envie. Si je pouvais, j’aimerai me battre. Contre quelqu’un qui pourrait supporter mes coups. En attendant je ne fais rien.
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Histoire Je suis née du dramatique. Ma mère jeune et jolie russe est tombée enceinte de moi en se rapprochant d’un homme anglais. Déjà marié et déjà père. Elle ne le savait pas à l’époque, mais je pense que l’avoir su ne l’aurait pas empêcher de se jeter dans ces bras si larges. Ce que je sais moi, c’est qu’ils ne représentaient pas juste une aventure de passage l’un pour l’autre. Il profitait de ses voyages d’affaire à l’étranger pour la voir le plus souvent qu’il pu. Il lui envoyait de l’argent chaque mois dès qu’elle eu à me porter dans les bras. On ne vivait que des moyens de se semi-étranger, et le voisinage nous regardait avec dégoût, mais je crois qu’on était heureuses.
Malgré moi. Car j’étais prématurée. Car mes os étaient si fragiles, qu’en tombant je pouvais m’en briser un ou deux. Alors ma mère a arrêtée de travailler comme ça, pour me garder à la maison, s’assurer qu’il ne m’arrive rien. Elle me tenait toujours dans ses bras quand l’on sortait, sous son manteau, bien au chaud. Ses bras tout autour de mon corps pour s’assurer que personne ne me touche et me brise. Puis j’avais cinq ans et maman avait peur. Car la femme de son amant apprit notre existence. Elle n’avait vraiment pas besoin de ça l’année de mes cinq ans. Parce qu’elle avait déjà tellement peur pour moi. Peur de relâcher son attention et que je m’éparpille. Qu’elle ne me retrouve plus jamais. Car cette si petite chose et ses cheveux si noirs, et ses yeux si clairs, pouvait mourir si facilement. À cinq ans je n’allais toujours pas à l’école. Un enfant aurait pu me pousser, même sans le vouloir, et s’en était fini.
J’étais sa chose. Précieuse. Fragile. Elle devait me protéger, contre tout. C’est-ce qu’elle croyait. Et alors un ouragan allait s’abattre sur notre maison si douillette aux murs si doux et aux sols si mou. Cette année là il se passa tant de choses. Ma mère n’était plus l’unique. Cette année là je rencontrai mon frère. Demi-frère. Premier fils de cet homme qui nous envoyait de l’argent et venait nous voir de temps en temps. Il ne parlait pas russe, et je ne parlais pas anglais. Le frère et la sœur ne se parlaient pas. Mais on se regardait. Se fixait. Décortiquait tous les mouvements de l’autre avec la plus grande curiosité du monde.
La tragédie fut la mère de ce garçon. Elle n’acceptait pas d’avoir été trompée et moi je ne la comprenait pas. On ne venait rien bousculer dans sa vie. On était heureuses, toutes les deux, et ne lui demandait rien. Mais peut être qu’après tout elle avait bien fait d’hurler. Ils divorcèrent, je ne sais plus quand. Et je revoyais Dexter. Je sortait du pays pour la première fois. Ma mère s’inquiétait toujours, bien que mes os ne soient pas aussi fragiles qu’aux premiers jours. Il avait trois ans de plus que moi, on ne se comprenait toujours pas, mais je refusait de lui lâcher la main. Il devait m’emmener partout, me faire tout voir, tout entendre. C’est avec lui que je voulais tout découvrir. Et quand avec le temps, nos mots ont commencés à se synchroniser, il n’y avait plus de marche arrière, on était déjà liés pour la vie.
Il me disait son russe avec sa voix d’anglais, et j’imitais sa langue avec mon timbre à moi. Quand l’on était à l’aise on mêlait ces deux langues ensemble pour n’en faire qu’une seule. Un grand mélange de mots qui n’allaient pas les uns avec les autres dans des phrases un peu incorrectes mais qui nous allaient. On grandit ensemble autant qu’on le pouvait. Un jour ma mère et moi emménagions avec cet homme, mon père. Et mon frère vivait avec nous juste le temps des vacances. Mes os avaient depuis une force tout à fait normale, et je me jetait dans tous les angles droit de la vie sans peur de me blesser.
Et ça s’aggravait, cette histoire. Quand tout va bien il faut toujours que tout aille mal. La mère de Dexter ne supportait pas de le voir s’éloigner pour être près de moi. Et mes os posaient à nouveau problème. Après avoir eu une force humaine normale, ils ont du vouloir continuer sur leur lancé, peut être étaient-ils ambitieux dès le départ. Et je suis devenu une sorte de monstre à l’intérieur dangereux. J’ai dû, doucement, m’éloigner des autres. Plus que de nature. Pour ne pas les blesser. Ça, et mon style vestimentaire, et mon absence de sourire quand Dexter n’est pas là, devait les aider à ne faire aucun effort pour comprendre ma situation. Alors, tel un miroir, je ne faisais et ne fais toujours aucun effort pour eux.
À part une fois. Dans cette école, Synchronicity. Mon frère avait bataillé pour avoir le droit d’être dans la même école que la mienne. Je n’avais besoin que de lui, j’en étais persuadée. Ce devait la période de ma vie où je me fermait le plus du monde extérieur. Personne ne pouvait me toucher. Je ne parlait à personne. Ce qu’on pouvait dire dans mon dos m’étais complètement égal. Mais il y avait cette fille. Mon opposé total. Ses cheveux étaient plus clairs que les miens, sa peau plus foncé, ses sourires fréquents et naturels. Elle semblait simplement heureuse de vivre, d’être là. Et elle parlait. Tellement fort. Tellement trop. Et elle s’était tournée vers moi. Par curiosité peut être. Quoi que je fasse elle n’abandonnait pas. Se comportait comme si nous étions amies. Je ne la supportait pas. Je la détestait même un peu. C’est qu’elle prenait tant d’espace, dès qu’elle arrivait elle devenait encombrante. Sa présence se sentait dans toute la pièce, dans l’air, dans les meubles. Tout était elle. Et elle était tellement à l’aise avec ça. Jen. Il n’y avait pas plus agaçant que Jen. Surtout lorsqu’elle gagnait. Lors de ces courses, ces compétitions, lors de la définition de notre relation. Et j’ai perdu face à elle. Je l’ai acceptée près de moi. Et ses sourires ont fini par m’atteindre. Dexter la trouvait suspecte, puis l’avait approuvée. Nous étions maintenant trois.
Puis ce fut la fin de synchronicity. Et je ne la vis plus. J’ai toujours son numéro. Je lui envoi toujours des messages. Il y a peu de temps, l’opérateur commença à me répondre toujours la même chose à chaque fois. Le numéro destinataire n’est plus en fonction. Je sais qu’elle est morte lors de cette explosion. Je sais qu’elle ne réapparaîtra pas. Je sais qu’elle ne répondra jamais à mes messages. C’est juste dur à accepter. Comment peut-on simplement disparaître avec une présence pareille? Je me dis, et tant pis si j’ai l’air d’une gamine naïve, qu’elle doit être encore vivante en moi. J’ai encore l’impression qu’elle est là, qu’elle encombre l’air, cette fille irrespirable. Je regarde toujours nos photos idiotes, sur la moitié on ne fait que des grimaces, et je revois la scène, et ça n’a pas l’air d’être du passé. Je sais toujours comment elle agirait dans telle situation, ce qu’elle dirait. Je ne sais plus si je lui ai déjà dit que je l’aimait. Qu’elle était si chiante et qu’elle était ma meilleure amie. Pour toujours. Mais je suis sure qu’elle le sait de toute façon.
Après ça on a émigré à Virtus Insania. C’était stupide de se retrouver en Allemagne. Mais Dexter était là, ça me suffisait. Je n’ai pas grand-chose à dire là-dessus. Quelques personnes pensaient surement que notre relation était limite incestueuse. Comme c’est le genre de chose qui me fais rire je n’ai jamais essayé de renier ce genre de rumeurs. Voir des visages troublés est quelque chose de passionnant. Mais il fallait une explosion, encore. Et je peux vous assurer maintenant que je déteste les explosions, les films d’action où définitivement tout explose, et les déménagements. Un jour je m’installerait dans un ville, dans une petite maison ou un appartement que je ne quitterai plus jamais. Parce qu’en si peu d’années j’ai vu la Russie, l’Angleterre, l’Allemagne, et la Suisse. Alors que tous les reste de ma vie j’avais été simplement placée entre quatre murs.
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Autre
• J’aurai adorer naître au sein de la famille Addams. • C’est si drôle de faire peur. • L’abréviation est Drago. L’on peut aussi m’appeler Dragon. Ou La Chose. • Les chiens me détestent, je les détestent, l’on se voue une haine mutuelle; quand on se croise c’est à qui aboiera le plus fort. • J’ai une cicatrice profonde sur la langue de me l’être mordu un jour. • Mes dents sont impeccablement blanches car j’en prend soin. • J’écoute peu de chansons à texte, me concentre sur le jazz, le classique, hard rock, métal, et beaucoup de musiques de films. • J’adore les bains. Très fort. Je peux y rester des heures. M’y baigner en maillot ou toute habillée. • Les films d’horreurs, et tout ce qui est glauque, c’est ma passion. • Pas touche à mon frère. • Je donne des surnoms aux gens de mon répertoire, et prend des photos mal cadrés et sans leur permission pour aller avec. Je garde tous les numéros. Et continue d’envoyer des messages aux injoignables. • Mon portable est noir. Dans son dos j’y ai dessiné une croix à l’envers avec un stylo effet argent. Quelques petites choses y sont attachés; comme un cercueil que l’on peut ouvrir pour y voir à l’intérieur un squelette non détachable, une poupée Voodoo parsemée d’aiguilles, et un mini stylo en forme de serpent. [Pour la petite histoire; mes parents m'avaient offert un portable rose et un portable noir pour mon frère. Pour éviter un meurtre il a procédé à un échange]
Je ne dirais rien pour un jour ou deux
Pseudo : Chabus Âge : 78 ans Sexe : Non
Dernière édition par Dragomira K. Ivanova le Dim 26 Jan - 18:53, édité 2 fois |
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Yugito Frazen
Messages : 42 Date d'inscription : 20/12/2013
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Mer 8 Jan - 21:07 | |
| J'attends juste la fin de ton histoire pour pouvoir te valider. N'oublie pas de mettre comment elle a vécu le changement d'école (encore) et voilà. Des zoubis ! |
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Cassandre S. Lipovsky
Messages : 138 Date d'inscription : 19/12/2013
Carte Etudiant Statut sur le forum: Actif Don: Pulsion & Sentiments Nombre de points: 142
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Dim 19 Jan - 15:23 | |
| Bonjour !
Je viens simplement aux nouvelles, savoir où ça en est.
Des bisous et à très vite ! |
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Dragomira K. Ivanova
Messages : 13 Date d'inscription : 03/01/2014
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Dim 26 Jan - 14:46 | |
| Je dois finir d'écrire l'histoire, désolé que ça prenne autant de temps. Pour dire vrai je ne m'en suis pas vraiment occupé ces dernier temps, je vais arranger ça.
EDIT: terminé, mais je veux savoir si "deuxième année" ça lui va encore. |
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Dragomira K. Ivanova
Messages : 13 Date d'inscription : 03/01/2014
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Lun 3 Fév - 19:29 | |
| Ça fait plusieurs jours que j'ai fini mais je savais pas si poster une deuxième fois est une bonne idée. Je crois qu'on doit me corriger au moins pour l'année, et pour le groupe d'étude (crépuscule et autres) je ne sais pas trop comment ça ce passe. |
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Lyria Sandman
Messages : 100 Date d'inscription : 19/12/2013
Carte Etudiant Statut sur le forum: Libre pour un Rp Don: Télékinésie Nombre de points: 57
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Lun 3 Fév - 21:09 | |
| Vraiment, vraiment désolée pour le retard, je n'avais pas vu l'edition du message.
Alors, pour ta question de l'année, Drago est en 5ème année sachant que ca se définit avec l'age. Eventuellement, tu peux décider qu'elle refait son année et elle sera en 4ème année dans ce cas là. Tu as toute les explications dans le sujet "La vie à Verbum Pretium" (ICI) si tu veux mieux comprendre.
Pour ton groupe, au vu du caractère de la petite demoiselle (un peu "je-m'en-foutiste") je pense qu'elle aurait plus sa place chez les Crépuscules. Je vais essayer de choper un autre membre du staff pour être sur que tout le monde soit d'accord sur ce point mais c'est le choix le plus logique.
Pour le reste, rien a dire. L'histoire est claire et complète. Le caractère me semble un peu court mais il reste suffisant.
Donc en ce qui me concerne, il n'y a rien qui s'oppose à ta validation. J'attends juste d'avoir l'aval d'un autre membre du staff pour rendre les choses officiels. |
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Lyria Sandman
Messages : 100 Date d'inscription : 19/12/2013
Carte Etudiant Statut sur le forum: Libre pour un Rp Don: Télékinésie Nombre de points: 57
| Sujet: Re: Maintenant je n’ai plus envie de rire • dit le DRAGON Mar 4 Fév - 1:03 | |
| Double post pour te dire qu'après discussion avec Cassandre, je t'annonce que tu es officiellement validée!
Je te laisse recenser ton avatar ici et ton don là.
N'oublie pas aussi de faire ta demande de chambre dans ce sujet.
Ravie de te compter parmi nous et à très bientôt en RP j'espère. |
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